La mise en parallèle des deux répertoires, sur une trentaine d’années, met alors en lumière l’impact des références et des influences artistiques dans le domaine de la création. Elle souligne aussi les thèmes communs abordés à travers les chansons des deux auteurs-compositeurs.
Sur scène, l’artiste Bruno Lizé incarne un Neil Young imaginaire, muet, qui fait découvrir son œuvre en vinyl au jeune Sunny, lui colle dans les mains sa première guitare, fait saturer son ampli à lampes et lui file un harmonica. Labellisé « Neil Young-du-coin », Sunny-Inside proposera plus tard, sur les scènes locales, un concert-tribute « mini Neil, mini Prix, mais il fait son Maximum! ».
Puis Young-Le-Bienfaiteur ne se contente plus d’initier Sunny à l’interprétation mais l’incite aussi à devenir auteur-compositeur en lui offrant « Le Journal du Songwriter ». Si Sunny-Inside se lance dans l’écriture de chansons, ce sera dans la langue de Molière. Il lui faudra alors trouver sa Muse… Le spectacle devient alors concert où chaque titre de Sunny-Inside trouve en écho sa chanson de Neil Young, créant une étrange continuité dans ce voyage musical en binôme…