Minimal Chamber

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Réalisé par : Marcos Molina - Minimal Chamber

Marcos Molina avec Minimal Chamber propose un répertoire des compositions propres de musique minimaliste. Ses influences sont Michael Nyman, Arvo Part ou Philippe Glass.

C’est une musique pour se relâcher ou pour écouter et analyser atentivement, en tout cas c’est idéal pour se submerger. Une proposition musicale méditative, circulaire, enveloppante, créative.

Collection : Spectacles en scène
Genre : Concert, Spectacle
Domaine d’intervention : Musique Classique
Lieu d’intervention : Salle de spectacle, Salle polyvalente
Public : Tout public

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Pendant son adolescence, Marcos Molina découvrit la musique de Michael Nyman (les films La leçon de piano et The Draugthsman’s Contract) puis celles de Philip Glass, Wim Mertens, Yann Tiersen, Josephine Pook, Arvo Part… . Certains morceaux sont composés d’une seule phrase à laquelle se rajoute progressivement d’autres voix. Marcos fut absorbé par cet univers musical enveloppant et circulaire, ce qui le motiva à reprendre des études de piano. Plus tard, il découvrit les quatuors à cordes de Franz Schubert. Il y trouva une ressemblance avec Nyman : ces extraits de phrases mouvantes qui se répètent et intègrent progressivement d’autres voix nous transportant dans un univers abstrait, infini et indéfini, de la création.

En 2007, Marcos Molina crée ses 1ères compositions de quatuor à cordes pour une troupe de théâtre universitaire. Ses compositions présentent deux fortes inspirations, ou aspirations : Nyman et Schubert. En 2022, il relance son projet Minimal Chamber, en ajoutant au quatuor un autre instrument : piano, flûte ou guitare.

La musique minimaliste, aussi appelée musique répétitive, s’éloigne de la musique classique. Elle ne cherche pas un parcours émotionnel progressif. Avec des phrases mouvantes qui se répètent, elle crée une nouvelle relation, plus moderne, ou postmoderne, entre l’auditoire et le compositeur.

En littérature, le minimalisme américain (années 50), ayant Hemingway comme étendard, propose de raconter seulement des détails du récit (ce que Hemingway nommait «la pointe de l’iceberg»). C’est aux lecteurs de reconstruire toute l’histoire, de trouver le fond caché de cette montagne de glace. La musique minimaliste fonctionne de manière similaire. Chaque composition est un petit îlot se laissant transporter par des courants. Et c’est à nous, l’auditoire, de trouver, peut-être imaginer, tout le fond de cet îlot indéfini où peut-être infini.